HOW SHE BECAME FLUENT IN FRENCH ? đŸ‡«đŸ‡· đŸ˜± – BEST TIPS TO LEARN FRENCH FROM MY ROMANIAN FRIEND

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HOW SHE BECAME FLUENT IN FRENCH ? đŸ‡«đŸ‡· đŸ˜± – BEST TIPS TO LEARN FRENCH FROM MY ROMANIAN FRIEND

Transcript de la vidéo

Bonjour tout le monde, j’espĂšre que vous allez bien. Aujourd’hui, je vous retrouve pour une nouvelle vidĂ©o de français et je ne suis pas seule. Je suis avec mon amie Adina, qui vient de Roumanie. Avant de commencer, pensez bien Ă  activer les sous-titres en français, ça va vous aider Ă  bien tout comprendre de la vidĂ©o.

Tout d’abord, on va expliquer comment on se connait avec Adina. Donc lĂ , ça fait quelques annĂ©es que tu vis en France, mais on ne s’est pas rencontrĂ©es en France.

Donc, quand j’Ă©tais Ă©tudiante, je devais rendre un travail de fin d’annĂ©e, une vidĂ©o et avec mon Ă©quipe, on avait choisi comme thĂšme de parler de l’agriculture, des paysans en Europe et plus spĂ©cifiquement des paysans en Roumanie. Donc, on devait aller faire un reportage filmĂ© en Roumanie, mais personne dans notre Ă©quipe ne parlait roumain. Donc on avait mis un petit mot Ă  l’UniversitĂ© de Bucarest pour voir si quelqu’un, un Ă©tudiant, pouvait nous accompagner pour faire la traduction. Et une seule personne a rĂ©pondu, c’Ă©tait toi. Et tu nous a accompagnĂ©s pendant 10 jours pour faire les interviews et traduire tous nos contenus vidĂ©os.

Donc voilĂ , c’est comme ça qu’on s’est rencontrĂ©es. Maintenant, je vais peut ĂȘtre te laisser te prĂ©senter.

Oui, alors, je m’appelle Adina comme je l’ai dĂ©jĂ  dit. J’ai 29 ans. J’habite en France maintenant depuis 3 ans et plus prĂ©cisĂ©ment dans la rĂ©gion lyonnaise, Ă  cĂŽtĂ© de Lyon. Je travaille en France aussi depuis deux ans et demi presque.

Est-ce que tu peux peut-ĂȘtre raconter pourquoi tu es venue en France ? Donc, je l’ai pas prĂ©cisĂ© au dĂ©but de la vidĂ©o, mais l’idĂ©e de cette vidĂ©o aussi, c’est que Adina nous explique comment elle a fait pour parler aussi bien français et qu’elle nous raconte aussi un peu ce qui est peut-ĂȘtre encore compliquĂ© pour elle, mĂȘme si elle parle trĂšs bien, les expressions qu’elle a dĂ©couvert en français rĂ©cemment, ses expressions prĂ©fĂ©rĂ©es et nous donner un peu des conseils pour amĂ©liorer notre apprentissage du français.

La pression (rire)

Donc est-ce que tu peux nous expliquer aussi pourquoi tu es venue vivre en France?

Alors je vais prendre un petit peu mon parcours avant d’arriver en France. Je ne l’ai pas dit tout Ă  l’heure, j’ai fait un semestre d’Erasmus, donc un Ă©change pour Ă©tudier Ă  Bruxelles. Donc ça, c’est dĂ©jĂ  un premier pas parce que j’ai Ă©tudiĂ© en français. J’ai passĂ© mes examens en français. J’habitais avec des francophones. Donc ça c’Ă©tait il y a 5 ans maintenant. AprĂšs, je suis revenue en France,  dans un pays francophone, en France, Ă  Grenoble, pour encore une annĂ©e pour mon master.

Et aprĂšs, je suis venue en France pour travailler et aussi pour rejoindre mon copain. Mon copain qui est Français. On devait choisir entre la France ou la Roumanie ou un autre pays pour habiter ensemble aprĂšs quelques annĂ©es de relation Ă  distance. Donc, on a choisi la France ensemble. C’Ă©tait une dĂ©cision. Ça nous a semblĂ© la meilleure pour la vie professionnelle, pour moi aussi. Donc, c’est comme ça que je suis arrivĂ©e en France, Ă  Lyon, il y a trois ans.

Et maintenant, vous ĂȘtes mariĂ©s, vous avez un petit, un petit bĂ©bĂ© depuis deux mois et demi. C’est ça !

Tu parles trÚs, trÚs bien français. Est-ce que tu peux expliquer aussi comment tu as fait pour atteindre ce niveau en français ?

J’avais commencĂ© dĂ©jĂ  Ă  l’Ă©cole. On commence assez tĂŽt avec la deuxiĂšme langue Ă©trangĂšre Ă  l’Ă©cole. J’avais 12 ans. La premiĂšre langue, c’est l’anglais. Et tout le monde dit : il faut parler anglais. Ça c’est impĂ©ratif et la deuxiĂšme langue, c’est pas optionnelle, mais il n’y a pas autant de pression de la part des professeurs ou en gĂ©nĂ©ral de la vie, du milieu de travail pour parler une deuxiĂšme langue. Mais pourtant c’Ă©tait la langue qui me plaisait le plus. Et aprĂšs, quand j’avais 15 ans,

j’ai commencĂ© Ă  prendre des cours moi-mĂȘme Ă  l’Institut français de Bucarest pendant 2 ans quand j’avais 15 ans et quand j’avais 16 ans. Et c’Ă©tait beaucoup plus utile parce qu’on faisait plus de conversation, plus de vocabulaire et un petit peu moins de grammaire. Et la deuxiĂšme annĂ©e, j’ai mon prof, il Ă©tait français aussi. Donc ça je trouvais que c’Ă©tait super.

Moi, ça m’a beaucoup aidĂ© parce que le français, une langue Ă©trangĂšre, peu importe, d’un Ă©tranger parlĂ© avec un accent ce n’est pas la mĂȘme qu’un natif.

Et aprĂšs, c’est sĂ»r que le plus ce que j’ai appris, c’Ă©tait quand je suis venue Ă  Bruxelles pour mon Erasmus. AprĂšs Ă  Grenoble, pour une annĂ©e de master. Et maintenant depuis trois ans que j’y habite, parce que c’est lĂ  oĂč tu parles le plus. OĂč tu entends tout le temps. Tu es baignĂ© dans une langue, t’entends au supermarchĂ©, dans le bus, Ă  la tĂ©lĂ©. Donc, c’est lĂ  oĂč ton vocabulaire, vraiment, explose beaucoup plus que juste Ă  l’Ă©cole.

Et si tu avais quelques petites astuces à donner à des personnes qui apprennent le français ?

Je pense qu’il faut parler. Je pense qu’il faut oser. C’est sĂ»r qu’on aura toujours un accent, on fera toujours des fautes. On va toujours galĂ©rer Ă  se faire vraiment comprendre, se faire comprendre, c’est comme ça qu’on dit ? Pareil pour les blagues. On va passer des moments, on ne va pas arriver Ă  dire vraiment ce qu’on veut. On va chercher nos mots, mais je pense que c’est… il faut oser, il faut se lancer.

Il faut commencer Ă  apprendre Ă  parler. Et plus tu parles, plus tu gagnes un petit peu de confiance. Tu as de rĂ©ponses. Donc, tu apprends aussi comme ça, au fur et Ă  mesure, je pense que c’est ce qu’il faut faire.

Il ne faut pas avoir peur de se tromper, de faire des erreurs. Il faut se lancer.

Oui, je pense qu’il faut accepter que de toute façon, on va faire des fautes. Oui, c’est pas trĂšs grave.

Oui. MĂȘme quand on est francophone, on fait tout le temps des fautes aussi.

Oui, je pense, enfin moi je m’en rends pas compte.

Est-ce que tu as des mots ou des expressions que tu aimes particuliÚrement en français, que tu trouves jolis ?

Oui, il y en a plein, c’est sĂ»r, parce que j’aime beaucoup le Français. Donc c’est sĂ»r, il y a plein de mots. LĂ  comme ça… J’aime beaucoup “poignĂ©es d’amour”, mais je pense que tu vas expliquer mieux que moi ce que ça veut dire. Et j’aime beaucoup parce que ça ressemble Ă  “pomme d’amour”. Donc, j’aime bien les deux. Et aussi parce qu’au dĂ©but, je confondais donc que j’aime les deux. Et mon mot prĂ©fĂ©rĂ© en français…

Je pense que je le prononce trĂšs mal, mais je l’aime beaucoup quand les autres le prononcent, c’est coquelicot, c’est la fleur. C’est les fleurs rouges qu’on trouve dans les champs, les fleurs sauvages. Et les poignĂ©es d’amour, c’est une partie du corps, c’est la partie qu’on a… Je ne sais pas si on voit bien, mais ici, en bas du ventre, sur les cĂŽtĂ©s. Et c’est vrai que c’est souvent, c’est prĂ©sentĂ© comme un dĂ©faut.

C’est un endroit oĂč on a un peu de graisse qui s’accumule. Et c’est vrai qu’en français, c’est joli parce qu’on dit “poignĂ©es d’amour”. On rend ça un peu… un peu mignon. On ne dit pas que c’est un dĂ©faut. On lui met un nom joli. Et les pommes d’amour, c’est ce qu’on a dans dans les fĂȘtes foraines. C’est une pomme sur un bĂąton avec du sucre.

Est-ce qu’il y a des mots ou des expressions que t’as appris rĂ©cemment ?

J’en ai appris une. Je pense que je l’avais dĂ©jĂ  entendu mais c’est assez rĂ©cent. C’est “faire un tunnel” ou “ĂȘtre dans un tunnel”. Je pense que… je ne sais pas si c’est  familier, mais en tout cas, je le perçois comme ça. D’autres expressions, je rĂ©flĂ©chis…

J’explique pendant que tu rĂ©flĂ©chis Ă  d’autres expressions. Quand on dit que quelqu’un fait un tunnel ou met un tunnel Ă  quelqu’un,  c’est, en fait, quand vous ĂȘtes dans une conversation. C’est vraiment une expression familiĂšre. Quand on est dans une conversation avec quelqu’un, mais qu’en fait, il n’y a qu’une seule personne qui parle, donc c’est comme si elle mettait un tunnel. Vous voyez, c’est oĂč vous passez avec la voiture et ça dure longtemps. Et ne vous voyez pas de lumiĂšre. Ben lĂ , c’est un peu la mĂȘme chose.

Vous parlez avec quelqu’un, mais en fait, il n’y a qu’une seule des deux personnes qui parle. En fait, elle fait une conversation, mais, mais toute seule, vous, vous n’arrivez pas Ă  parler. Donc, ça peut ĂȘtre un peu un peu ennuyeux.

Oui, j’ai entendu une expression il y a deux jours parce que justement, il faisait froid. Je pense que ça veut dire il fait froid, ça caille. C’est “ça meule”.

Et oui, c’est pour dire qu’il faut froid dehors. Ok, je ne connaissais mĂȘme pas cette expression.

Je ne sais pas si on l’utilise beaucoup, moi c’Ă©tait la premiĂšre fois que j’entendais.

Je pense que oui, c’est juste. Moi, je la connaissais pas, mais il y a tellement tellement d’expressions d’argot. Ça Ă©volue tellement vite que… Ben tu vois, tu m’apprends une expression.

Qu’est-ce que tu trouves aussi le plus difficile en français, avec la langue française ? Si c’est peut-ĂȘtre la prononciation, la grammaire, la conjugaison…

Les verbes, la conjugaison… Non, je n’ai pas trouvĂ© ça particuliĂšrement difficile. Je pense que c’est faire la diffĂ©rence entre… enfin pour les tournures de phrases. Et ça, c’est surtout depuis que je travaille, parce que je trouve que dans les mails et dans les Ă©changes pros, je pense que ça dĂ©pend beaucoup du milieu aussi, bien sĂ»r. Mais les Français font beaucoup d’attention Ă  comment les choses sont dites, aux phrases. Il faut que ça soit un peu… Ben moi, par exemple, j’avais tendance de parler, de mettre des smiley faces, d’ĂȘtre beaucoup plus familiĂšre. Un langage oĂč on se prend moins la tĂȘte.

Je trouve qu’en France, on utilise le conditionnel pour imposer les choses ou il faut ĂȘtre poli. Il faut vraiment faire attention. Moi, quand j’Ă©cris un mail, je lis plein de fois pour me dire c’est pas trop agressif, ça n’a pas l’air trop… je n’impose, je ne suis pas trop… C’est ça, les nuances que tu perçois pas forcĂ©ment. Je pense que c’est culture aussi, ce n’est pas juste la langue serait. Plus difficile aussi… Moi j’ai encore du mal avec le masculin/fĂ©minin parfois.

Parce que forcĂ©ment, il y a des mots dans ma langue, dans le roumain, qui sont au masculin et en français il faut les mettre au fĂ©minin. Donc ça, j’ai encore du mal et l’impression qu’il n’y a pas de rĂšgles. Il faut savoir si c’est masculin ou fĂ©minin, c’est comme ça. Et aprĂšs, je pense qu’il y a des mots qui ont une structure qui te donne un indice. C’est fĂ©minin. Si c’est un “ette”, par exemple, j’ai l’impression que c’est plus fĂ©minin. Mais sinon, il faut les connaĂźtre.

Ce n’est pas normal, c’est dur.

Est-ce que, Ă  part le masculin/fĂ©minin, il y a d’autres erreurs un peu rĂ©currentes que tu fais et tu te rends compte. Mais chaque fois, tu te trompes quand mĂȘme souvent.

Oui, j’en fais encore beaucoup, mais je pense que le plus frĂ©quent, c’est… je dis souvent “j’ai demandĂ© ma mĂšre” au lieu de dire “j’ai demandĂ© Ă  ma mĂšre”. Ah oui. Ou “je les demande” au lieu de “je leur demande”. Donc ça, j’ai encore du mal. Quoi d’autres… Les chiffres, Ă  part 70, 95… Je n’arrive pas Ă  faire des calculs dans ma tĂȘte, si quelqu’un me dit un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, une adresse avec beaucoup de chiffres, un numĂ©ro de train, par exemple.

Ça, je n’y arrive pas. Il faut toujours traduire pour faire les calculs. DĂ©jĂ  que je ne suis pas trĂšs bonne en math… Mais apparemment, je ne sais pas si c’est vrai, mais j’avais entendu que les Ă©tudes montrent qu’on a du mal Ă  avoir le cerveau pour faire des calculs dans une autre langue. OK, je ne sais pas si c’est juste moi. Mais ça me rassure de me dire que quelqu’un a dit ça. Mais ça, j’ai encore du mal. Et oui, pareil avec le masculin fĂ©minin, par exemple, je dis toujours “une bain” au lieu de “un bain” et “baignoire” pareil je l’inverse.

Oui, ça, j’en encore dĂ» mal avec beaucoup de mots.

Oui, et en plus comme nous, on comprend peut-ĂȘtre que les gens, ils ne te corrigent pas non plus. Ils ne disent pas attention, c’est la baignoire et pas le baignoire, parce que les gens comprennent donc, c’est pas grave.

Oui, je pense qu’ils se disent “je ne vais pas la corriger”. Ça dĂ©pend aussi la relation.

Ben oui, oui, oui, oui, en plus.

Et est-ce qu’il y a des sons que je trouve vraiment difficiles Ă  prononcer en français ? Ça, ça doit aussi dĂ©pendre par rapport Ă  ta langue maternelle Ă  toi qui est le roumain. Mais est-ce qu’il y a des sons qui sont compliquĂ©s pour toi.

Moi, je n’arrive pas Ă  dire diffĂ©remment le mot “vin” comme la boisson et le “vent” qui souffle dehors. Et “vingt” aussi le nombre donc 19, 20. Je n’arrive pas Ă  dire… Pour moi, les trois mots, quand je les entends… Parfois, j’arrive Ă  dire quand quelqu’un me les dit vraiment une aprĂšs l’autre, un aprĂšs l’autre. J’arrive Ă  dire “Ah oui, ça ne sonne pas pareil.”

Ouais, mais c’est vrai que c’est difficile, “du vin” et “le vent”, c’est trĂšs proche. Donc c’est vrai que c’est vrai.

J’entends mais je pourrais pas le dire.

Ouais, je comprends.

Et ben les “re”, pareil, j’arrive pas Ă  faire le “re” comme en français. J’ai l’impression tu dois vomir un petit peu.

Oui, quand tu as des sons qui n’existent vraiment pas dans ta langue, c’est vraiment difficile de les reproduire.

Je pense que les entendre, ça va plus vite, aprĂšs il faut avoir l’oreille musicale aussi que je n’ai pas. Mais les prononcer, c’est encore un autre niveau. C’est plus difficile.

Merci beaucoup Adina d’avoir partagĂ© tous ces conseils. Et ton expĂ©rience du français avec nous.

Merci Ă  toi, pour l’invitation…

Avec plaisir

Et pour les vidéos que tu fais aussi.

Merci et je te dis à bientÎt. Et je vous dis aussi à vous à trÚs bientÎt pour une nouvelle vidéo.Bonne journée, tout le monde.

À bientît !

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